« Musée national du Burkina Faso (BF)
Plus qu’un lieu de mémoire… » est le slogan de Laëtitia qui a attiré l’attention des Cinq membres du jury dont Ali Lougué est le Président.
Quant à Maxime, c’est parce que son œuvre est transposable sur tous les supports, qu’il a été retenu 1er dans la catégorie logo a expliqué Ali ; ce" />
« Musée national du Burkina Faso (BF)
Plus qu’un lieu de mémoire… » est le slogan de Laëtitia qui a attiré l’attention des Cinq membres du jury dont Ali Lougué est le Président.
Quant à Maxime, c’est parce que son œuvre est transposable sur tous les supports, qu’il a été retenu 1er dans la catégorie logo a expliqué Ali ; ce" />
Rasmata Sawadogo/ Maiga, Directrice générale du Musée national
href=”https://www.femininactu.com/actualite/concours-de-logo-et-de-slogan-du-musee-national-laetitia-kinda-et-saga-maxime-passoule-ont-seduit-le-jury-de-par-la-qualite-de-leurs-oeuvres/attachment/img_20211008_165043_1″ rel=”attachment wp-att-2027″> Le logo qui a attiré l’attention des membres du jury[/caption]pg” alt=”” width=”3200″ height=”1440″ class=”aligncenter size-full wp-image-2027″ />« Musée national du Burkina Faso (BF)
Plus qu’un lieu de mémoire… » est le slogan de Laëtitia qui a attiré l’attention des Cinq membres du jury dont Ali Lougué Ali Lougué, président du jury est le Président.
Quant à Maxime, c’est parce que son œuvre est transposable sur tous les supports, qu’il a été retenu 1er dans la catégorie logo a expliqué Ali ; ce qui fait que ce sont ces deux jeunes qui sont les lauréats de chaque catégorie.
La cérémonie de distinction de ces deux lauréats a eu lieu le vendredi 08 octobre 2021 au sein du Musée national.
Le choix porté en leurs personnes résulte du fait qu’ils (Maxime et Laëtitia) ont respecté les critères d’éligibilité a précisé Ali.
Et parlant de critères, il a insisté sur le fait que le cahier de charges dans lequel sont mentionnées les missions du Musée, devrait être respecté, chose que beaucoup n’ont pas pu le faire « Nous avons fait un tri qui nous a permis d’écarter les candidats qui ne respectaient le cahier de charges. On a gardé rien que ceux qui répondaient à ce que nous voulions, c’est-à dire suivre ce que les missions du musée La photo de famille qui a.mis fin à ladite cérémonieréclament : la sauvegarde du patrimoine culturel et sans oublier que dans le cahier de charges, il y’avait tout ce qui contenait comme informations que sont les charges graphiques (qu’il fallait respecter), que le logo soit transposable sur d’autres supports. Signature de contrat entre le Musée national et le lauréatDonc, vous avez vu aussi par la projection que le logo est transposable sur des tasses de thé et de café, sur des calendriers, sur des cartes de visites, des tee-shirts … ce qui fait qu’on peut communiquer et vendre l’image du Musée avec ce logo et à travers le monde ».
En ce qui concerne les candidatures, plus d’une centaine venant de presque de partout dans le monde ont été enregistrées a-t-il souligné « Nous avons reçu des candidatures de France (Laëtitia), des candidatures d’Italie, de la Suisse, des Etats Unis ainsi que de l’Afrique et du Burkina Faso (BF).
Pour vous dire que nous avions une centaine de candidatures toutes catégories confondues logos comme slogans. Et c’est le tri de ces candidatures qui nous a permis de retenir trois lauréats dans chaque catégorie ».
Ali a en outre indiqué que ces candidatures avaient été réceptionnées en avril dernier (on avait donné un mois pour la réception).
Cependant, à cause de la Covid19, l’équipe n’a pas pu travailler à tout moment, d’où le retard de la proclamation des résultats « On a fixé un mois pour recevoir les candidatures depuis avril 2021 et le jury s’est mis immédiatement au travail.
Covid19 oblige ; on n’était pas là à tout moment. Cependant, on travaillait à distance et on se retrouvait en plénière pour discuter et c’est comme cela que nous avons travaillé durant une semaine, ce qui nous a permis d’arriver à ce résultat ».
La proclamation des résultats finie, les deux lauréats en plus de l’attestation ont reçu chacun la somme de 150.000Fcfa pour Laëtitia et 350.000Fcfa pour Maxime.
Ensuite s’en est suivie la signature du contrat entre le Musée national et Maxime, Laëtitia n’étant pas là (puisqu’elle réside en France et s’est faite représentée).
Saga Maxime Passoulé lauréat du logo s’exprime.Saga Maxime Passoulé, lauréat du logoLe représentant de la lauréate du slogan Laetitia
Maxime, animé d’un sentiment de joie et de fierté (puisque selon ses dires, son travail a été reconnu meilleur parmi d’autres), ne fait que se réjouir.
A la question de savoir ce qui l’a poussé à déposer sa candidature, Maxime a confié qu’il voulait mettre son talent, sa création et son imagination à la disposition du Musée « parce que comme c’est un concours, je suppose qu’ils ont des attentes et c’est pour pouvoir combler ces attentes que j’ai vraiment décidé de participer à ce concours ». L’hymne national a planté le décor
En rappel, C’est en prélude à la commémoration du 60ème anniversaire du Musée national prévu en 2022, que ladite institution avait décidé de faire un appel à candidatures afin d’avoir un logo et un slogan qui seront accessibles au Burkinabé lambda.
Ali va plus loin en disant que « On avait un logo qui n’était pas totalement compris par les Burkinabés : c’était seulement des objets qu’on a caricaturé et c’est cela qui était le logo du musée. Pour un musée national, cela tirait vers quelque chose d’incompréhensible. Donc pour communier avec les 60ans du musée, on a décidé de faire un appel à candidatures et des propositions ont été faites pour un nouveau logo et slogan ».
Le logo qui a attiré l’attention des membres du jury[/caption]pg” alt=”” width=”3200″ height=”1440″ class=”aligncenter size-full wp-image-2027″ />« Musée national du Burkina Faso (BF)
