L’Initiative Pananetuguri Pour le Bien-être de la Femme(IPBF) a organisé un atelier de restitution faisant suite à une étude ménée sur l’impact de la Covid19 sur les femmes et jeunes filles ce jeudi 17 septembre 2020 à Ouagadougou.
Les résultats de cette étude qui ont été enregistrés dans un document à travers un rapport élaboré a expliqué la responsable du plaidoyer et de la communication à IPBF, Annick Laurence Koussoubé et d’ajouter que cette étude a une très grande importance puisqu’elle permettra de faire un plaidoyer auprès du gouvernement burkinabé, lequel document mentionne les actions à mener sur le terrain.
Cet évènement qui a été brusque, Annick a souhaité que l’on puisse mettre en place d’autres actions pour d’autres évènements brusques afin de pallier les difficultés rencontrées par les jeunes filles et femmes surtout du secteur informel victimes de covid-19.
Ce document qui est en cours de finalisation, fera ressortir les actions à mener sur le terrain, des recommandations seront faites dans ce dit document qui seront exploitées en vue de poser des actions concrètes sur le terrain a-t-elle poursuivi et d’ajouter que la grande action sera surtout le plaidoyer.
Cette étude a permis en outre d’évaluer l’impact surtout socio culturel a-t-elle souligné : « La Covid19 a surtout impacté les aides ménagères, les travailleuses de sexe et restauratrice de rue,et une baisse considérable des épargnes pendant le confinement entre 10% à 50% en fonction des microfinance a été constatée. Et le taux de recouvrement est resté très faible malgré certains moyens de pression des agents de crédits .
Malgré tous cela il y’a eu des effets pervers positifs comme la masculinité positive de certains hommes; leurs implications plus accrues dans les ménages a-t-elle signifié.
Le contexte de l’étude, les objectifs, les résultats attendus ont été présentés par le consultant Claudel Ruffin Toé.
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