L’atelier de validation de l’Arrêté portant gestion et subvention de la presse privée s’est tenu le mercredi 29 juillet 2020 à Ouagadougou.
Deuxième du genre selon le directeur général du Fonds d’appui à la presse privée (FAPP), Bè Palm, cet atelier consistait à pouvoir prendre en compte et en charge les éléments de sa structure, les faiblesses de l’Arrêté (portant gestion, administration, répartition et justification de la subvention de l’Etat à la presse privée).
Ces échanges fructueux et à bâton rompu qui ont duré pendant 4h d’horloge entre les représentants du ministère des finances , celui de la communication et les directeurs de publication ou leurs représentants, ont permis de lever certaines zones d’ombres et de valider ledit document a-t-il poursuivi et d’ajouter qu’en matière de finances, on ne peut jamais trouver l’unanimité puisque des acteurs rejetteront toujours les documents qu’on leur présente sous prétexte qu’ils ne répondent pas aux critères exigés.
« A l’issu de cet atelier, on attend à ce que la majeur partie des amendements soit prise en compte et que le consensus soit dégagé afin que nous puissions présenté cet Arrêté qui doit être signé par les deux ministres , c’est-à-dire le ministre des finances et du développement et le ministre de la communication qui porte la tutelle technique du fonds d’appui à la presse privée » a-t-il souligné et de conclure qu’en ce qui concerne les recommandations, il souhaiterait qu’un pouvoir soit donné à la commission de pouvoir investiguer tout en impliquant des membres notamment l’ARCEP( autorité de régulation des communications électroniques et des postes), le BBDA( bureau burkinabé du droit d’auteur), la CNSS( caisse nationale de sécurité sociale).
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